Show simple item record

dc.contributor.editorDelwit, Pascal
dc.contributor.editorAmjahad, Anissa
dc.contributor.editorBréchon, Pierre
dc.contributor.editorDelwit, Pascal
dc.contributor.editorDolez, Bernard
dc.contributor.editorGombin, Joël
dc.contributor.editorIGNAZI, PIERO
dc.contributor.editorIvaldi, Gilles
dc.contributor.editorJadot, Clément
dc.contributor.editorLaurent, Annie
dc.contributor.editorMayer, Nonna
dc.contributor.editorOrfali, Brigitta
dc.contributor.editorSchwengler, Bernard
dc.date.accessioned2019-11-05 09:48:47
dc.date.accessioned2020-04-01T10:00:11Z
dc.date.available2020-04-01T10:00:11Z
dc.date.issued2012
dc.identifier1005558
dc.identifierOCN: 1147266613en_US
dc.identifier.urihttp://library.oapen.org/handle/20.500.12657/24551
dc.description.abstractL’élection présidentielle du 22 avril 2007 et le scrutin législatif qui l’a suivie ont été une terrible désillusion pour Jean-Marie Le Pen et le Front national (FN). Après avoir dominé l’agenda politique et médiatique durant les années quatre-vingt-dix et créé une secousse inédite dans le système politique lors des élections présidentielles de 2002, le FN était ramené à une expression électorale et un poids politique extrêmement modestes. Ce résultat, en phase avec le mouvement de déclin observé dans les années 2000, est confirmé au scrutin municipal de 2008 où l’extrême droite française est évanescente. D’aucuns évoquent alors la fin sans gloire de Jean-Marie Le Pen et de son parti. À la veille des élections présidentielles et législatives de 2012, la présentation et le regard sont pourtant tout autres. En janvier 2011, Marine Le Pen a « hérité » de la présidence du parti ; trente-neuf ans après l’accession de son père à cette même présidence. Le Front national a opéré une percée aux élections cantonales du printemps 2011 et les enquêtes d’opinion créditent Marine Le Pen de scores oscillant entre 15 et 20% des intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle. Après le pain noir, le pain blanc ? Les choses sont indubitablement plus nuancées. Dans un environnement européen où l’extrême droite a (re)trouvé des couleurs dans certains États, une nouvelle analyse approfondie du phénomène frontiste s’imposait, tant il est vrai que le déclin politico-électoral de la deuxième moitié des années 2000 avait asséché les recherches consacrées au Front national. L’ouvrage, qui rassemble des contributions de spécialistes réputés de l’extrême droite française, retrace et analyse tour à tour l’histoire du Front national, les rapports du FN à l’extrême droite européenne, le modèle organisationnel et militant du parti, ses axes idéologiques et programmatiques, de même que son implantation électorale et la question des alliances politico-électorales. Enfin, trois zones de force du Front national, dissemblables dans leur profil, sont très finement observées : le Nord-Pas-de-Calais, l’Alsace et Provence-Alpes-Côte d’Azur.
dc.languageFrench
dc.relation.ispartofseriesScience politique
dc.subject.classificationthema EDItEUR::J Society and Social Sciences::JP Politics and government::JPL Political parties and party platformsen_US
dc.subject.otherPolitical science
dc.titleLe Front national
dc.title.alternativemutations de l’extrême droite française
dc.typebook
oapen.relation.isPublishedByad75175c-dd6f-4705-bafd-62a0395e57dd
oapen.pages248
oapen.place.publicationBruxelles
oapen.remark.public21-7-2020 - No DOI registered in CrossRef for ISBN 9782800415192
oapen.identifier.ocn1147266613


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show simple item record