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dc.contributor.authorZufferey, Jonathan
dc.date.accessioned2020-10-01T19:35:44Z
dc.date.available2020-10-01T19:35:44Z
dc.date.issued2017
dc.identifierONIX_20201001_9783034327992_225
dc.identifier.urihttps://library.oapen.org/handle/20.500.12657/42318
dc.languageFrench
dc.relation.ispartofseriesPopulation, Famille et Société / Population, Family, and Society
dc.subject.classificationthema EDItEUR::J Society and Social Sciences::JH Sociology and anthropology::JHB Sociology::JHBD Population and demographyen_US
dc.subject.otherPopulation and demography
dc.subject.otherUrban communities
dc.titlePourquoi les migrants vivent-ils plus longtemps ?
dc.title.alternativeLes inégalités face à la mort en Suisse (1990–2008)
dc.typebook
oapen.abstract.otherlanguageDans les sociétés postindustrielles contemporaines, les migrants ont généralement des risques de décès inférieurs aux populations des pays d’accueil bien qu’ils soient tendanciellement plus vulnérables en raison de moindres capitaux humains, sociaux et économiques. Il s’agit là d’un véritable paradoxe épidémiologique car ces facteurs sont considérés comme les causes fondamentales des inégalités de longévité. A travers le prisme de la société suisse, cette thèse présente les dernières tendances en termes de mortalité différentielle entre les populations suisse et étrangères. Par une vision globale et compréhensive, nous mettons en exergue les particularités des populations migrantes afin d’offrir des clés d’interprétation à ce fameux paradoxe. L’étude tente d’approcher la migration dans toute sa profondeur en investiguant les différentiels en fonction de l’origine et du statut migratoire. En partant des outils de la démographie classique, en passant par des modèles de régression et des arbres d’induction, pour finir par des modèles multiniveaux exprimant des risques spatiaux, la connaissance des processus et des populations s’affermit. Au terme de ce manuscrit, nous aboutissons à une synthèse sur les principaux mécanismes explicatifs. La discussion reviendra sur deux axes clés qui expriment, selon nous, l’essentiel de l’avantage observé : des biais de sélection à l’entrée et à la sortie ainsi qu’une « culture de la migration ».
oapen.identifier.doi10.3726/b10891
oapen.relation.isPublishedBye927e604-2954-4bf6-826b-d5ecb47c6555
oapen.series.number24
oapen.pages448
oapen.place.publicationBern


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